Cas cliniques

Rapport de 3 cas cliniques : prise en charge et amélioration des douleurs dorsales chez le cheval de sport avec la radiofréquence Indiba.

La gestion de la douleur est essentielle à la pratique vétérinaire. C’est la clé d’une récupération optimale après une maladie, une blessure ou une intervention chirurgicale, pour améliorer la qualité de vie des animaux.

Les incidents du quotidien, le vieillissement ou même les traumatismes sont susceptibles de modifier ou d’endommager les cellules des tissus chez les animaux, tout comme chez les humains. La technologie de radiofréquence brevetée d’INDIBA® permet de cibler ces changements et de les restaurer grâce à une combinaison unique d’effets.

Tous les chirurgiens savent que la chirurgie ne s’arrête pas au bloc opératoire. Le traitement post-opératoire est essentiel pour garantir le succès de la procédure. La radiofréquence Indiba® est un outil disponible pour optimiser ce succès.

De nombreuses technologies peuvent traiter les blessures et accélérer la récupération. Mais seules quelques-unes peuvent faire les deux et améliorer les performances sportives chez le cheval, la radiofréquence Indiba® en fait partie.

Traitement d'une pododermatite chronique chez un Jack Russel de 5 ans. Présenté par le Dr Céline Clement.

Prise en charge d'une pododermatite chez un cobaye traité au laser. Par le Dr Charly Pignon.

Prise en charge d'une dysplasie congénitale chez un chat de 5 mois avec la thérapie laser. Cas présenté par le Dr Deswarte.

Prise en charge de la douleur arthrosique chez un chat âgé avec la thérapie laser. Cas clinique présenté par le Dr Thierry Poitte.

Prise en charge d'une Otite unilatérale et d'une rhinite avec la thérapie laser. Cas clinique présenté par le Dr Céline Clement.

Prise en charge d'une rhinite muco-purulent chez un lapin avec la thérapie laser. Cas clinique présenté par le Dr Charly Pignon.

Prise en charge d'un œdème en regard de la face dorsale du carpe chez un cheval avec la cryothérapie compressive dynamique Easy Cryo. Présenté par le Dr Emilie Dallongeville